mélange d’amusement et de soulagement. « Ce qui m’a sauvé, poursuit-il, c’est qu’il y avait par hasard un assez gros rocher sur le bord de cette route. Mon vé- hicule est monté sur ce rocher et s’est arrêté. Et donc, je suis toujours en vie.» Même à cette époque, bien avant d’obtenir son doc- torat en ingénierie de conception de systèmes méca- niques à l’université de Tohoku, Sawase-san pensait comme un ingénieur. Dans son esprit, il a commen- cé à comparer la première voiture à propulsion qu’il a conduite en tant qu’étudiant sur ces mêmes routes, à celle à traction qu’il conduisait la nuit où il a frôlé la mort. « En fait, j’ai appris l’effet des différents systèmes dy- namiques des roues en me servant d’un événement de ma propre vie », dit-il, se rappelant son expérience précoce, non planifiée et non recommandée. Cela l’a amené à réfléchir à la « différence critique » entre la traction avant et la propulsion arrière, dans les voitures en général et dans celles qui participent
au Championnat du monde des rallyes en particulier. Il a pris conscience d’une chose étonnante qui a chan- gé sa vie. Il nous explique qu’après son expérience, puis en re- gardant le Championnat, il a soigneusement évalué les véhicules à quatre roues motrices qui participaient aux courses. Il nous dit alors s’être donné pour mis- sion professionnelle de fabriquer un véhicule à quatre roues motrices qui fonctionne bien et qui lui permette aussi de rester en vie. Cela déclenche nos rires. Aujourd’hui, le système S-AWC du Mitsubishi Outlander PHEV 2022 et de l’ensemble de la gamme reflète par- faitement son objectif et celui de l’équipe d’ingénieurs de fabriquer un véhicule à transmission intégrale qui répond de manière réaliste et efficace aux manœuvres du conducteur tout en tenant compte des conditions météorologiques et routières. L’objectif est d’offrir des « avantages essentiels en matière de sécurité » dans un véhicule qui réagit de manière précise et prévisible
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